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études-coloniales
7 avril 2013

Biskra (Algérie) à l'époque coloniale

Biskra 5

 

 

images de Biskra à l'époque

de l'Algérie coloniale

recherche : Michel RENARD

 

En réponse (incomplète) au message suivant, nous publions ces photos issues de cartes postales anciennes de la ville de Biskra, en Algérie, durant l'époque coloniale.

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En interrogeant les bases de données archives images du CAOM sur "la Commune indigène, commune mixte puis sous-préfecture de Biskra" (1878/1959) je ne trouve pas trace de la vie coloniale entre Biskra et Touggourt dans les années 1896 à 1898.
http://anom.archivesnationales.culture.gouv.fr/ark:/61561/lj270g68i

En effet, j'ai retrouvé un récit détaillé de mon aïeul qui relate son séjour avec ses parents à Biskra , de leurs expéditions dans le désert avec des Anglais,du Casino de Biskra et des palmiers Parc du Comte de Landon et des Bat d'Af chargés de l'entretien des routes.
http://maximenemo.over-blog.fr

Je souhaiterais pouvoir corroborer ces informations et les recouper avec d'autres témoignages personnels ou romanesques de cette époque (Gide).

Je n'ai à cette heure retrouvé que le Blog suivant, consacré à Biskra
http://azititou.wordpress.com/2013/03/23/ils-ont-parler-de-lalgerie-bergot-raoul/

J'ai vu qu'André Brochier avait aussi écrit un article sur le traitement des Archives d'érudits ce qui est le cas de mon aïeul.

Je vous remercie de m'indiquer si je pourrais trouver trace du passage de mes ancêtres en Algérie, qui ne figurent pas dans la base patronymique du CAOM : Georges Albert BAUGEY (1865-1908) et Maxime NEMO (1888-1975).

NB: J'ai consulté les ouvrages de Jeanine Verdès-Leroux
Archives de l'Algérie de Jacques Borgé et Nicolas Viasnoff
Archives d'Algérie (1830-1960), Françoise Durand-Evard et Lucienne Martini (CAOM)
France et Algérie. Journal d'une passion, Dir. Jacques Marseille.

Bien sincèrement
Patrick Y. CHEVREL (Montpellier)

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Biskra 1

 

Biskra 3

 

Biskra 4

 

Biskra 5

 

Biskra 6

 

Biskra 7
hôtel Transatlantique

 

Biskra 8

 

Biskra 9

 

Biskra 10

 

Biskra 11

 

Biskra 12

 

Biskra 13
établissement thermal de Fontaine Chaude

 

Biskra 14

 

Biskra 15

 

Biskra 16

 

Biskra 17

 

Biskra 18

 

Biskra 19
le marché à l'orge

 

Biskra 20
statue du cardinal Lavigerie

 

Biskra 21
hôtel Transatlantique, vu du parc

 

Biskra 22

 

Biskra 23

 

Biskra 24

 

Biskra 25

 

Biskra 26

 

Biskra 27

 

Biskra 28

 

Biskra 29
vue aérienne sur les écoles, 1962

 

Biskra 30

 

Biskra 31

 

Biskra 32

 

Biskra 33

 

Biskra 34
restaurant des Dunes de sable à Biskra

 

Biskra 35

 

 

Biskra 36

 

Biskra 37

 

Biskra 38
les balcons de la rue Arcelin

 

Biskra 39

 

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On peut ajouter :

- l'article de Henri Busson, "Les vallées de l'Aurès", Annales de géographie, 1900, volume 9, n° 43, p. 43-55
http://www.persee.fr/web/revues/home/prescript/article/geo_0003-4010_1900_num_9_43_6180

- le site "Ils ont écrit sur Biskra"
http://ecrivainsbiskra.blogspot.fr/2010/04/largeau-victor-1842-1896.html

- le site "Ils ont photographié Biskra"
http://photographesdebiskra.blogspot.fr/2012/01/largeau-victor-1842-1896.html

- voir le site du CDHA et lancer une recherche avec la requête "Biskra" : http://www.cdha.fr/catalogue-en-ligne

 

Aperçu de « 1896 A Travers l’Algérie d’Aujourd’hui Oran Constantine

 

- retour à l'accueil

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Commentaires
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Bonjour, j aimerais savoir qui connais parmi vous El alia à biskra entre 1953 et 1959 . Cordialement des anciens moudjahidines, ainsi que la prison à biskra ou au Allentour.merci mon mail khamoulijk@gmail.com Très important car je recherche des informations sur des personnes décédées chahid mousabel de ma famille, je suis de Paris. Cordialement.
Répondre
G
Ma jeunesse a jaillie à travers la vision des Images photographiques en cartes :<br /> <br /> Que c'est beau de visionner le jardin public propre et bien gardé ...et les séguia ruissellent <br /> <br /> C"est sublime la vue sur les écoles et de la place publique..oh adolescence !!!<br /> <br /> Ghamri Abdelaziz nadir
Répondre
S
re bonjour, je profite de l’occasion pour faire publier un témoignage d'un ancien de l ALN d'Ouled Djelal, cette histoire est bien connu dans la région car authentique, ce n'est pas un génocide mais un massacre, un de plus commis par l ALN, si vous mettez mes écrits en doute, je vous invite à aller le voire, c'est votre voisin :<br /> <br /> Depuis mon récent témoignage sur les massacres perpétrés par le Colonel Mohammed Chaâbani à l’encontre de plusieurs centaines de jeunes combattants du mouvement national algérien (MNA) après l’indépendance, je suis exposé à des attaques insensées comportant des propos mensongers et diffamatoires de la part des partisans et complices de ce dernier.<br /> <br /> <br /> <br /> En raison de ce témoignage que j’ai rendu uniquement pour la face de Dieu qui a dit : « Ne dissimulez pas le témoignage. Quiconque le dissimule commettra un péché en son âme et conscience » (Coran 2:283), je suis traité de tous les noms, y compris par des anciens frères d’armes et amis, ce qui prouve que la Vérité n’est pas toujours facile à dire, et c’est pourquoi une bonne partie de l’histoire est dissimulée ou totalement déformée.<br /> <br /> <br /> <br /> On fait circuler ces jours-ci une vidéo sur Youtube avec mon nom comme titre où il est dit, entre autres accusations, que je serais un faux Moujahid de la Willaya 6 qui critique le Colonel Chaâbani (en traitant avec respect le Général Mohamed Bellounis).<br /> <br /> <br /> <br /> Ce que j’ai affirmé sur ces assassinats n’est pas un simple ouï-dire ; en ma qualité de témoin oculaire, j’ai rapporté cet événement tel qu’il s’est réellement déroulé, au lieu de me laisser emporter par le brouhaha d’approbation et applaudissements à l’égard du personnage en question.<br /> <br /> <br /> <br /> Suite à la vague de louanges illégitimes à l’égard du Colonel Chaabani, il me semblait essentiel d’apporter un soupçon de vérité à cette histoire.<br /> <br /> <br /> <br /> Avant de répondre aux accusations portées à mon encontre dans cette vidéo, il convient de rappeler brièvement les scènes que j’ai vécues, objet du témoignage incriminé. En Tant qu’ancien militaire dans les rangs de l’ex Wilaya 6 sous le commandement du Colonel Chaâbani, j’ai assisté à des pratiques cruelles défiant tant le bon sens que la morale et les lois humaines.<br /> <br /> <br /> <br /> Il faut noter qu’en dehors de l’ALN (Armée de libération nationale), il y avait des maquis constitués d’anciens Messalistes du mouvement national algérien (MNA) et opérant sous le commandement de Chefs militaires dont Abdallah Selmi, Bachir Laghouati et bien d’autres.<br /> <br /> <br /> <br /> Après l’indépendance, le colonel Chaâbani invita ces derniers à déposer les armes en leur promettant sur le Coran que leur vie serait épargnée et qu’ils n’auraient rien à craindre.<br /> <br /> L’effectif de ces troupes est d’environ 750 combattants selon certains, il dépasse le millier selon d’autres.<br /> <br /> <br /> <br /> J’ai discuté avec bon nombre d’entre eux lors de la rencontre d’Ouled-Djellal, au lieudit « al-ghaba ».<br /> <br /> <br /> <br /> Je peux témoigner que la plupart étaient des jeunes entre 18 et 25 ans, très engagés pour la cause et sincères, c’est-à-dire ils ne connaissaient rien de la trahison, et si trahison il y avait, elle serait plutôt de l’autre côté, celui du FLN. Pour eux, ils avaient rejoint les maquis pour faire le Jihad et libérer le pays.<br /> <br /> <br /> <br /> Lors des rencontres de réconciliation, il a été convenu que ces troupes (du MNA) devaient soit continuer leurs carrières dans les rangs de l’ALN (Armée de libération nationale) pour ceux qui le désirent, soit déposer les armes auprès des régions et des secteurs de la Wilaya 6.<br /> <br /> <br /> <br /> Mais, aussitôt les armes déposées, ces jeunes militaires et leurs chefs furent atrocement exécutés sans procès ni jugement suivant des ordres secrets donnés par le Colonel Chaâbani, et ainsi plusieurs massacres furent perpétrés dans les camps et les casernes de la Wilaya 6.<br /> <br /> <br /> <br /> J’ai malheureusement assisté à des lynchages à l’occasion desquels j’ai eu des problèmes à cause de mon refus d’y participer. Il y a eu plusieurs centaines de morts.<br /> <br /> <br /> <br /> Revenons maintenant à cette vidéo et aux propos fallacieux qu’elle propage à mon sujet.<br /> <br /> <br /> <br /> Il serait intéressant de savoir qui se cache derrière cette cabale, cette inquisition improvisée et maladroite sur moi et mon passé.<br /> <br /> <br /> <br /> Avant toute chose, je dois signaler que M. Rabah Osman n’est pas le mieux placé pour témoigner à mon sujet car je n’ai pas travaillé directement avec lui, je n’étais pas enrôlé dans le secteur 77 qu’il dirigeait. J’étais affecté au secteur 76 commandé par Ali Benbouzid et j’ai travaillé avec M.Sassi Atif lequel me connaissait mieux que tout autre. C’est pour cette raison que l’on trouve dans les propos de M. Rabah Osman des déclarations inexactes pour ne pas dire mensongères.<br /> <br /> <br /> <br /> 1─ Je ne me rappelle pas avoir demandé un quelconque papier ou témoignage à M. Rabah Osman pour la bonne et simple raison que, d’une part je n’ai pas milité avec lui avant l’indépendance et d’autre part j’avais déjà les documents prouvant ma participation à la lutte de libération nationale, bien que, encore une fois, je n’en ai pas besoin ; j’ai milité par devoir, pour la libération de mon pays et cela me suffit largement.<br /> <br /> <br /> <br /> 2─ la question de la falsification de l’attestation d’assurance de ma voiture se résume ainsi qu’il suit :<br /> <br /> <br /> <br /> C’était en 1970, j’avais une voiture que j’avais confiée à un ami pour l’utiliser comme taxi. Il se trouve que le contrat d’assurance avait expiré sans qu’il s’en aperçoive. Pour renouveler l’assurance, il fallait aller à Biskra, une centaine de km d’Ouled-Djellal. En attendant de s’y rendre, il a cru devoir tripatouiller le papier d’assurance en prolongeant sa validité. Les gendarmes l’ont arrêté et puisque la carte grise était à mon nom c’était selon eux l’occasion idéale de capturer un ‘‘gros gibier’’. Que s’est-il passé ? Au lieu d’une amende, d’une procédure normale de présentation au parquet, ils se mirent à le torturer durant plusieurs jours, alors que la garde à vue était légalement limitée à 48 heures. Et ce pour lui soutirer sous la torture l’aveu mensonger selon lequel j’étais l’auteur de la falsification. Je suis allé lui rendre visite à la brigade de gendarmerie où je l’ai trouvé le visage ensanglanté et en larmes. A ce moment-là, j’ai perdu la raison. Quoi, lui dis-je ! Vous n’avez pas le droit de le battre ! On s’est disputé, injurié, les gendarmes m’ont finalement mis aux arrêts. Et une procédure s’ensuivit sous l’inculpation d’outrage à agents de la force publique. Conséquences : J’ai écopé un mois de prison malgré les interventions tout azimut.<br /> <br /> <br /> <br /> 3─ L’histoire de la mairie a besoin de clarification. D’après le témoignage, j’aurais travaillé dans une mairie (Section Administrative Spécialisée – SAS) jusqu’à l’indépendance, ensuite après avoir servi 3 ou 4 mois dans l’armée, j’aurais repris les activités dans la même mairie. C’est faux. D’une part, j’ai passé plus d’une année dans l’armée. D’autre part, je n’ai pas travaillé à la mairie jusqu’à l’indépendance. Aussi, faut-il préciser que la mairie n’est pas la SAS. Ceux qui travaillaient à la SAS étaient en principe des Harkis.<br /> <br /> <br /> <br /> En fait, six mois avant l’indépendance, j’étais recherché et caché dans un endroit que seuls Dieu et mes parents connaissaient. En voici les raisons : le secrétaire général de la mairie de Doucen que je connaissais avait besoin d’une main d’œuvre temporaire pour la mise à jour des listes électorales ainsi que l’établissement de dossiers de transhumance.<br /> <br /> <br /> <br /> A cet effet, je fus embauché comme secrétaire en juillet 1961 ; étant né le 8 Octobre 1942, je n’avais pas encore atteint les 19 ans. Cet emploi m’offrit l’occasion de délivrer des fausses cartes d’identité à des militants et Moussebelines recherchés qui leur ont permis de poursuivre leurs activités, entre autres, le ravitaillement des Moudjahidines au maquis. Un jour, j’ai appris que l’un d’eux fut arrêté et que je risquais d’être dénoncé. Ce qui m’obligea à prendre la fuite, environ trois mois après mon recrutement. Quelques jours après, les militaires ont lancé des recherches à mon encontre. Je ne connais pas la personne qui a été arrêtée mais parmi les militants et Moussebelines avec qui j’étais en contact, je peux citer Khelifa Elmehri, Bensalem Mohammed, Bensalem Djemoui, l’un des deux était surnommé « Elcopter », Kaddouri Bachir. J’avais établi les cartes d’identité par leur intermédiaire.<br /> <br /> <br /> <br /> Mais après l’indépendance, après avoir quitté l’armée, j’avais occupé le poste de secrétaire général de la mairie d’Ouled-Rahma et non pas « la même mairie » comme dit la vidéo.<br /> <br /> <br /> <br /> 4─ L’histoire des enfants français, c’est vrai que j’en ai parlé à M. Rabah Osman dans le but de le sensibiliser à la mouvance islamique, à la bienfaisance, à l’éveil des peuples colonisés. Je croyais qu’il avait compris le but de l’opération, à savoir enseigner l’Islam, aider les opprimés, leur faire prendre conscience du colonialisme et ses méfaits. Mais dans la vidéo, il semble n’avoir rien compris, il en donne une mauvaise interprétation, adoptant la même position que le pouvoir algérien qui m’a sanctionné aveuglément sans essayer de comprendre l’approche pédagogique de cette initiative.<br /> <br /> <br /> <br /> Concernant ces enfants, je ne souhaitais pas que cette histoire soit ébruitée, mais comme c’est le cas à présent, je vais tenter de la résumer s’agissant d’une longue histoire. Des français pour la plupart d’origine antillaise, martiniquaise et réunionnaise, avaient décidé, suite à leur conversion à l’islam de confier leurs enfants à l’association « Centre Abâad » que je présidais pour apprendre l’arabe et le Coran. Ils avaient ensuite décidé de les envoyer par mon intermédiaire en Algérie où leur formation pouvait se faire dans des meilleures conditions qu’en France.<br /> <br /> <br /> <br /> Nous avions commencé à les envoyer par petits groupes, avec des documents à l’appui sur le consentement de leurs parents ; c’était en 1983-84, le premier groupe était composé de trois enfants, ils étaient hébergés chez moi à Ouled-Djellal avec ma mère et mes trois filles. En une année, ils ont appris l’arabe et une partie du Coran, mais l’opération ne dura pas longtemps malheureusement.<br /> <br /> <br /> <br /> Un jour la police a débarqué chez moi et a enlevé les enfants. Quand j’ai appris la nouvelle, j’ai décidé de rentrer immédiatement au pays, j’étais alors cueilli à l’aéroport d’Alger. Je ne vous dis pas ce que j’ai vécu comme galère ; traîné de police en police, de commissariat en commissariat entre Alger, Ouled-Djellal, Biskra, comme si j’avais commis un crime. Et à la fin on m’a retiré mon passeport que je n’ai pu récupérer que difficilement et longtemps après.<br /> <br /> <br /> <br /> 5─ M. Zireg Lakhdari, ancien agent de la police communale, a dit que j’avais construit ma maison avec le budget de la commune d’Ouled-Rahma. J’apporte un démenti catégorique à cette allégation. Il y a eu sur cette affaire des enquêtes qui se sont révélées infructueuses, rien n’a été retenu contre moi. Ce qui m’étonne, en revanche, est le fait que cette accusation provienne de quelqu’un pour qui j’avais beaucoup d’estime et que je considérais comme un ami intime. Il s’agit de Zireg Lakhdari, ancien agent de la police communale dans la même commune où j’ai exercé la fonction de secrétaire général. Malgré tout, je lui pardonne ainsi qu’à ceux qui m’ont injustement heurté dans cette affaire.<br /> <br /> <br /> <br /> Ahmed Simozrag<br /> <br /> 11 mars 2012
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S
Bonne fete à vous, un génocide qui ne figure nulle part et j'innocente pas la colonisation bien au contraire, contrairement à vos assertions, je ne suis pas "sous tutelle" et je garde ma liberté de penser et de chercher des sources fiables et crédible et non de ressasser des slogans appris à l'école algérienne mise sous tutelle, d'ailleurs quand je me rends à Ouled Djellal et Sidi Khaled les anciens me racontent les violences qu'ils ont subit par le F.L.N et quand je discute avec d'anciens Harkis de la région de Biskra, ils m'expliquent les massacres perpétrées par le "Colonel "Chaabani, quand à feu Messali, il est toujours tabou en Algérie et sa dépouille et son histoire ont été récupérées<br /> <br /> et falsifiées par le pouvoir en place.
Répondre
T
Bonne fete de Laid El Adha pour Mr Salah et, helas, et permettez moi de vous souligner que la maniere et le sujet que vous evoquez me laisse comprendre en vous que vous" innocenté" la France coloniale .Alors restez toujours sceptique sur contenu de mon commentaire concernant le genocide du 29 juillet 1956 à Biskra et sans doute pour bien d'autres à travers toute l'Algerie depuis 1830 à1962 .S'agissant du doyen du nationalisme algerien Mesli dit Messali,les historiens ont dit leur mot là dessus
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