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études-coloniales
30 novembre 2020

À Monsieur le Président de la République française, Jean-Pierre Lledo, le débat avec l'Algérie

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À Monsieur le Président de la République française

Jean-Pierre Lledo

 

À Monsieur Emmanuel Macron

Ayant la nationalité algérienne et française, ayant vécu en Algérie jusqu’en 1993, ayant du fuir vers la France le mal nommé "Séparatisme" islamiste, je me crois assez autorisé pour vous confier ce que j’ai pensé de l’information selon laquelle vous alliez, de concert avec les autorités algériennes, mettre sur pied une instance composée paritairement d’historiens algériens et français et dont le but serait de : "réconcilier les mémoires françaises et algériennes" et ce dans la perspective du prochain anniversaire de 2022 de la fin de la guerre d’Algérie.

Louable, et je dirais même grandiose, dessein qui concerne directement une centaine de millions de gens qui attendent cela depuis soixante ans ! Pourtant permettez–moi Monsieur le Président de vous dire mon extrême pessimisme : on ne peut combler en deux années, un si grand retard dans la recherche historique, et surmonter ce qui relève de la censure d’État.

Je parle en connaissance de cause.

 

les archives algériennes

Les Archives algériennes, et notamment celles de la guerre d’Algérie, et du FLN, sont toujours hermétiquement fermées, aux chercheurs algériens et étrangers. De ce fait, toute tentative d’une réécriture commune de l’histoire franco-algérienne, aussi noble qu’elle soit dans son projet, restera un vœu pieu, et à l’avance vouée à l’échec, avec toutes les conséquences psychologiques néfastes pour les individus directement traumatisés, et les groupes humains qui ont été victimes.

Seule la VÉRITE peut avoir des vertus thérapeutiques. Seule, elle, peut guérir les MÉMOIRES traumatisées

Or, pour vous donner mon exemple, quand j’ai crû devoir contribuer à cette vérité, en faisant mon film Algérie, histoires à ne pas dire, co-production franco-algérienne, ce film fut aussitôt interdit par les autorités algériennes (Juin 2007), mais aussi combattu dans la presse par des intellectuels algériens.

Interdit et combattu parce que dérogeant au récit national algérien de la guerre d’Algérie. Pourtant tous les témoins de ce film, passifs, ou actifs, étaient algériens, arabes et musulmans, se considérant comme de bons patriotes. Ils avaient donc eu le tort d’évoquer les massacres d’Aout 1955, le terrorisme urbain, l’assassinat du chanteur juif constantinois, Raymond Leyris, et les massacres du 5 Juillet 1962, dont on a déjà officiellement dénombré plus de 700 victimes (grâce a l’historien Jean-Jacques Jordi), violence toutes commises à l’encontre de civils non-musulmans, et à l’initiative des instances dirigeantes du FLN et de l’ALN.

Moi-même j’avais réalisé ce film avec l’idée que nous les jeunes générations algériennes, de diverses origines ethniques, étions capables d’écrire un nouveau chapitre de l’histoire algéro-française qui se distinguerait de l’écriture apologétique de nos pères.

Je me trompai, mon film fut interdit par la Ministre de la culture Khalida Messaoudi, et vilipendé par des intellectuels algériens. Et quand je  tentai de leur répondre, la presse algérienne, aux ordres, très vite, censura mes réponses. Censuré et interdit de parole, on me signifiait d’une certaine manière mon exclusion de la citoyenneté algérienne.

Mais si la France, dont j’avais aussi la nationalité, avait programmé ce film dans les chaines de la Télévision nationale, si elle avait protesté par la voix de son Ministre de la culture contre cette censure, je ne doute pas qu’elle aurait déclenché, enfin, le véritable débat que tout le monde attend depuis 60 ans. Or, force est de constater, que sélectionné dans les plus grands Festivals (Toronto, Tribeca, etc….), et loué par la presse cinématographique de France (avec une 3ème de page dans le Monde en Fev 2008), CE FILM Y A AUSSI ETE CENSURE : ni acheté en 2008 (après sa sortie dans toutes les salles de France), ni en 2012, alors que des centaines d’émissions et de films, dans les radios et les TV d’Etat ou privés, furent préparés puis programmés par à l’occasion du cinquantenaire de la fin de la guerre d’Algérie.

 

conditions d'un réel débat historiografique

De par mon expérience, je me permettrai Monsieur le Président, de vous dire que votre noble dessein ne pourra être couronné de succès qu’aux conditions minima que je vais énumérer :

  • BANNIR LA CENSURE en Algérie, comme en France : c’est-à-dire libérer toutes les œuvres qui ont été réalisées sur cette période de la guerre d’Algérie, ou de la colonisation.
  • OUVRIR TOUTES LES ARCHIVES, notamment celles de l’Algérie, et du FLN.
  • VEILLER AU PLURALISME D’OPINION dans le choix des historiens algériens et français qui feront partie de cette "Commission". Il ne faut pas être naïfs : malgré toutes les précautions, l’histoire n’est pas "objective, et les historiens non plus.
  • Évoquer et condamner les violences, oui. Mais DES DEUX CÔTÉS. Rien ne serait plus traumatisant que l’on évoque les violences de la France et que l’on taise celle du FLN.
  • CESSER D’ENVISAGER L’HISTOIRE COMME UN EXERCICE DE REPENTANCE. L’histoire ne devrait tendre que vers un seul but : la VÉRITÉ.

Le Président Bouteflika avait bien commencé son règne, lorsqu’en 1999, il déclara que "la colonisation avait introduit la modernité en Algérie…. par effraction. Rien ne serait plus catastrophique, pour les jeunes Algériens comme pour les jeunes Français, de laisser l’IDÉOLOGIE abuser de l’HISTOIRE.

Si l’on veut objectivement apprécier ce que fut la colonisation française, et en faire son bilan, ne faudrait-il pas décrire l’état de ce qui ne s’appelait pas encore l’Algérie, avant la colonisation ? Mieux encore, ne faudrait-il pas, faire le bilan de la colonisation ottomane durant les quaree siècles qui précédèrent l’arrivée de la France ?

Monsieur le Président de la République française, vous détenez une grande part de RESPONSABILITÉ, comme tous les Présidents des pays qui se veulent "démocratique".

Vous pouvez beaucoup de ce fait pour créer, du moins en France, les conditions de liberté et de sérénité, d’un débat sur l’histoire franco-algérienne. Si cet exercice, le seul salutaire, venait pour des considérations bassement politiques, à être remplacé par un exercice de repentance unilatérale, alors vous prépareriez à la France des décennies d’une nouvelle violence qui déjà pointe son nez, sous le ridicule vocable de "décolonialisme" de la part de soi-disant intellectuels qui plutôt que de lutter pour la démocratie dans leur pays, se croit le droit de culpabiliser le peuple ‘’blanc’’ de France. 

Avec l’expression de ma haute considération.

 

Jean-Pierre Lledo
cinéaste
Paris le 17 novembre 2020
lledo47jeanpierre@gmail.com

  

Jean-Pierre-Lledo

 

 

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19 novembre 2020

les mensonges du Canard Enchaîné sur le Rwanda

Canard enchaîné, 18 nov 2020 jpeg

 

 

les mensonges du Canard Enchaîné

sur le Rwanda

à propos de Julie d'Andurain

 

Sous la main l’article du Canard Enchaîné du 18 novembre 2020, intitulé «Commission impossible sur le Rwada (suite)», signé» par un mystérieux D.F (David Fontaine semble-t-il).

Il fait référence à une notice «L’opération Turquoise» publiée dans le Dictionnaire des opérations extérieures françaises de 1963 à nos jours, Nouveau monde Editions, Ministère des Armées, 2018, p. 270-275. Je me demande si le journaliste a lu le même texte que moi...

En réalité, l’article du Canard Enchaîné est une attaque en règle contre l’historienne Julie d’Andarain (université de Metz) : «cette historienne fana-mili y ravalait et le génocide des Tutsis au rang de massacres et de tueries ; sans compter de multiples erreurs factuelles

Et encore : … «d’éminents historiens spécialistes des génocides dénonçant fond de l’article de Julie d’Andurain». Annette Becker a ainsi répliqué à ses collègues le 6 novembre «Vous n’avez pas fait ce que nous enseignons à étudiants de première année : se référer au texte incriminé»

Or, j’ai sous les yeux le texte de la notice signée Julie d’Andurain dont elle dit elle-même qu’elle le réécrirait autrement. MAIS on ne peut dire qu'elle ne mentionne pas le génocide des Tutsis. Le terme figure au moins onze fois dans sa notice.

 

Michel Renard

 

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18 novembre 2020

un point de vue sur le Rwanda

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un point de vue sur le Rwanda

 

Lu ce jour sous la plume d’un congolais :

 Rwanda. L’éloge du sang est un livre passionnant à lire et à relire. En le fermant, plusieurs questions se posent :  «Pourquoi cette jeune dame a-t-elle pris tant de risques pour l’écrire ? Pourquoi a-t-elle accepté d’affronter la maladie, la souffrance, la mort, l’instabilité familiale, les menaces proférées à l’endroit de ses filles, le divorce, etc., pour écrire ce qui s’est passé trop loin de son pays ?»

Une première réponse me semble être  «la passion pour la vérité» ! L’humain en Judi Rever a parlé plus fort que toute idéologie partisane ou racialiste. Elle a voulu, contre vents et marées, être «la voix des sans-voix». La voie de ces hommes, de ces femmes, de ces enfants, de ces vieillards soumis au silence et auxquels quelques  «monstres» de l’APR/FRP ont voulu arracher la vie et le sens de l’humain. De ces hommes et femmes qui, ayant résisté à rendre  « leur conscience vicieuse», ont accepté de partager leurs histoires et leurs mémoires avec  »une sœur en humanité ».

Ne pas parler, ne pas donner des conférences, ne pas écrire aurait été une façon de trahir ses frères et sœurs en humanité et de trahir l’humain en elle. Aller jusqu’au bout de ce qu’elle avait entrepris fut son leitmotiv. Son mari, bien qu’en ayant beaucoup souffert, a fini par la pousser dans ce sens.

Au fur et à mesure de ses recherches, de ses rencontres -au risque de sa vie et de celle de sa famille-, Judi Rever a compris que rien ne peut tuer la vérité. La passion pour la vérité l’a boostée.

…/…

Cela étant, en publiant son livre, Judi Rever partage sa passion pour la vérité et sa lutte contre la peur avec ses frères et sœurs du monde, du Rwanda, de l’Ouganda, du Congo-Kinshasa et de toute l’Afrique. Elle apporte sa pierre à l’édification d’une humanité renouvelée au cœur de l’Afrique.

Bababya Lumumba
Génération Lumumba 1961
http://kasaidirect.net/wordpress/?p=14919

 

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17 novembre 2020

au sujet du dernier livre de Raphaëlle Branche

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Complice des fellaghas nazislamistes

et la torture

à propos du dernier livre de Raphaëlle Branche, par Manuel Gomez

 

La radio Rance Culture, dont l’idéologie est bien connue depuis des années, ne pouvait que faire l’éloge d’un récent livre écrit par Raphaëlle Branche, née en 1972 à Paris, mais "spécialiste des violences en situation coloniale" et dont le titre de gloire est sa thèse sur «L’armée et la torture pendant la guerre d’Algérie. Les soldats, leurs chefs et les violences illégales».

Selon elle : «un silence entoure depuis 60 ans la guerre d’Algérie»… serait-elle sourde à ce point ? Toujours selon elle : «Les «appelés» étaient les petits-fils des combattants de 14/18 ».

Et encore selon elle : «Ce ne sont pas les obus qui ont décimé les «appelés» en Algérie», mais ce qu’ils ont vu ou fait. Ce qui fut enseveli, mais non pas digéré mais ravalé, avec les lois d’amnistie.

Rappelons qu’il y a eu environ 1 200 000 «jeunes appelés» qui ont servi en Algérie et Raphaëlle Branche a obtenu, après avoir expédié 300 questionnaires, les témoignages de 39 familles et sur ces 39 familles interrogées, 14 ont fournis des documents. Je peux comprendre que ces 39 «petits-fils »des combattants de 14/18, dont elle a recueilli les témoignages, « soient revenus abîmés par leur expérience de la mort, de la torture et de la violence » - quid du terrorisme barbare des fellaghas islamistes ?- .

Mais Raphaëlle Branche n’a pas «construit» son livre qu’avec les seuls témoignages (heureusement !) mais elle s’est référée à ces  chercheurs et chercheuses» qui se sont attaqués également à la puissance du déni qui a opéré pendant plusieurs décennies ». Par exemple : Benjamin Stora, Claire Mauss-Copeaux (également spécialiste de la torture !), Florence Dosse et surtout, mais surtout, Bernard W. Siggce psychiatre, militant marxiste, déserteur de l’armée française en 1961.

Il aurait, selon lui, «pris le large» et déserté en 1961 quelques jours avant d’être affecté à un poste de médecin «car il avait compris, avant même d’y aller, que sa tâche aurait été de maintenir en vie, après des séances de tortures, des combattants de l’indépendance, nos ennemis mais pas les siens». En revanche, il n’a pas manqué de donner la parole aux appelés organisés et aux déserteurs militants qui risquaient la prison (et qui auraient été fusillés lors des deux premières guerres !).

L’un de ces 39 raconte le souvenir obsédant « d’un ruisseau devenu rouge (rouge du sang de qui ? de soldats français ? de Harkis ? de civils français ? de terroristes islamistes fellaghas ?). Certains lui ont dit «leur honte», certainement ce fils qui a envoyé une carte à ses parents, leur écrivant : «qu’avec son groupe ils avaient «étrillé» un village arabe et «pris toutes les femmes» mais que «sinon, ça va».

Qui pensez-vous convaincre, Raphaëlle Branche ? Vos amis (es), vos lecteurs habituels le sont depuis longtemps, ils partagent votre idéologie .Contrairement à vous « la société française, dans sa majorité, n’est pas sourde, et si elle est traumatisée, ce n’est certes pas par ce que vous écrivez et ce que vous déclarez, vous et les vôtres, les Stora, Moss-Copeaux, Dosse, et les autres, qui avez pris la suite des Sartre, Franz Fanon, Einaudi, Alleg et compagnie, mais parce qu’elle subit, aujourd’hui, les traumatismes que vous avez défendus.

Manuel Gomez, novembre 2020

 

 

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5 novembre 2020

le général Maurice Faivre est mort

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la mort du général Maurice Faivre 

 

Chers Amis,

Une très triste nouvelle Le général Maurice Faivre n'est plus. Sa vie peut se résumer en trois mots : Français, Soldat, Chrétien. Français il aimait sa Patrie de tout cœur. Encore adolescent, engagé dans le scoutisme, il fut aux côtés de son père dans la Résistance.

Soldat, il combattit pour la liberté en Algérie contre le terrorisme islamiste et ensuite face au totalitarisme soviétique au sein de nos Services de Renseignements. Il s'efforça aussi de sauver ses harkis et de faciliter leur venue en France. Il fut indéfectiblement fidèle à l'honneur militaire qui commande de ne pas abandonner ses compagnons d'armes à l'ennemi.

Plus tard, historien militaire, il combattit la politique de la Repentance par laquelle certains cherchent à culpabiliser le peuple de France et à abaisser notre pays. Chrétien, il puisait en sa foi catholique l'énergie et la mesure indispensables à l'action.

Ainsi fut-il dans son secteur en Algérie de ceux qui interdisaient la torture, comme d'ailleurs 90% des cadres de notre Armée. Il montra ainsi que, d'une situation complexe, on peut toujours tenter de sortir par le haut. Sans donner de leçons, sans condamner quiconque, sans tapage ou mises en cause spectaculaires, quotidiennement et fermement, il donna l'exemple.

Un grand Monsieur nous a quittés ; il nous manquera beaucoup.

Jean Monneret 

 

 

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le général Maurice Faivre

 

 

_______________________________________

 

C'est avec beaucoup de tristesse que j'apprends la nouvelle
J'ai apprécié chez cet homme, la droiture de l'historien qu'il etait devenu.
Et aussi de son courage.
car en 2008, et alors que mon film ''Algerie, histoires à ne pas dire'' venant d'être interdit en Algérie, et qui dérangea aussitot le landernau ''anticolonialsite'', Georges Morin président de Coup de Soleil, organisa à la va vite un ''Débat''
Je n'acceptai d'y participer qu'avec la garantie que j'aurai un plus grand temps de parole, tous les autres présents à la tribune ayant des points de vue opposés au mien (Stora, Pierre Daum, Morin, Harbi) 
or Morin ne tint pas sa promesse et la salle était  bondée de ses partisans....
Maurice Faivre présent dans la salle, eut du mal à se faire entendre, face à une salle échauffée, mais il tint tête.
Il avait essayé d'opposer aux idées toutes faites, la simple réalité des chiffres.
Et je crois bien que notre estime mutuelle eut son baptême de feu ce jour là.
Jean-Pierre Lledo

 

 

 

Merci Jean Pierre de ton hommage à Maurice Faivre. Merci d'évoquer ce rude débat à l'Hôtel de Ville de Paris où des l'entrée dans l'édifice nous étions "pistés et encadrés " comme des présumés agitateurs voulant troubler" la sérénité " du débat ! !

Ce jour là Maurice Faivre calmement, avec le " sang froid" du combattant qu'il était avait distribué à tous les participants un papier qu'il avait rédigé pour d'emblée, poser certaines questions concernant le thème du débat. J'étais admiratif de le voir progresser dans la salle , chaise par chaise, pour poser son document où le remettre en mains propres même devant des réactions les plus hostiles de certains participants qui froissaient ses écrits,les jetaient à terre sans même les lire.

Je crois que ses seuls cheveux blancs ce jour-là l'avaient épargné des violences physiques et insultes que des "invités pacifistes"  voulaient lui exprimer.

Oui Maurice Faivre nous aura montré  qu'il faut se battre, tenir jusqu'au jour où la vérité des faits, notre objective vérité ne pourra plus être contestée par les mystificateurs, les menteurs patentés, les prétendus historiens des 17 octobre 61 et autres évènements qui les ont nourris avecleurs livres de  complaisance ! !

Ce qui avait fait partir B. Stora ce jour là c'était justement de révéler au public toute sa" vraie histoire" à Constantine personnelle et familiale. Il venait de dire plein d'aplomb que sa famille avait quitté cette ville "comme tous les pieds noirs en juin 1962 "  ...... alors que la connaissant bien, je savais qu'il était des septembre 1960 inscrit dans un lycée parisien((il n'avait pas 10 ans) et qu'elle l'avait rejoint début 61, comme indiqué dans le compte-rendu.


C'est de l'avoir enfermé dans ses mensonges que nous avons tous mis en doute ses vérités d'historien. On a su par la suite tout son cheminement idéologique au lycée de Saint-Germain-en-Laye où deux professeurs d'origine constantinoise ont été témoins de l'infiltration et de la propagande trotskyste, lambertiste dans ce lycée. 
Nous prions pour le repos de l'âme de Maurice Faivre, ce valeureux combattant.  
Bien cordialement,

Jean-Paul Spina

  

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