Complice des fellaghas nazislamistes
et la torture
à propos du dernier livre de Raphaëlle Branche, par Manuel Gomez
La radio Rance Culture, dont l’idéologie est bien connue depuis des années, ne pouvait que faire l’éloge d’un récent livre écrit par Raphaëlle Branche, née en 1972 à Paris, mais "spécialiste des violences en situation coloniale" et dont le titre de gloire est sa thèse sur «L’armée et la torture pendant la guerre d’Algérie. Les soldats, leurs chefs et les violences illégales».
Selon elle : «un silence entoure depuis 60 ans la guerre d’Algérie»… serait-elle sourde à ce point ? Toujours selon elle : «Les «appelés» étaient les petits-fils des combattants de 14/18 ».
Et encore selon elle : «Ce ne sont pas les obus qui ont décimé les «appelés» en Algérie», mais ce qu’ils ont vu ou fait. Ce qui fut enseveli, mais non pas digéré mais ravalé, avec les lois d’amnistie.
Rappelons qu’il y a eu environ 1 200 000 «jeunes appelés» qui ont servi en Algérie et Raphaëlle Branche a obtenu, après avoir expédié 300 questionnaires, les témoignages de 39 familles et sur ces 39 familles interrogées, 14 ont fournis des documents. Je peux comprendre que ces 39 «petits-fils »des combattants de 14/18, dont elle a recueilli les témoignages, « soient revenus abîmés par leur expérience de la mort, de la torture et de la violence » - quid du terrorisme barbare des fellaghas islamistes ?- .
Mais Raphaëlle Branche n’a pas «construit» son livre qu’avec les seuls témoignages (heureusement !) mais elle s’est référée à ces chercheurs et chercheuses» qui se sont attaqués également à la puissance du déni qui a opéré pendant plusieurs décennies ». Par exemple : Benjamin Stora, Claire Mauss-Copeaux (également spécialiste de la torture !), Florence Dosse et surtout, mais surtout, Bernard W. Sigg, ce psychiatre, militant marxiste, déserteur de l’armée française en 1961.
Il aurait, selon lui, «pris le large» et déserté en 1961 quelques jours avant d’être affecté à un poste de médecin «car il avait compris, avant même d’y aller, que sa tâche aurait été de maintenir en vie, après des séances de tortures, des combattants de l’indépendance, nos ennemis mais pas les siens». En revanche, il n’a pas manqué de donner la parole aux appelés organisés et aux déserteurs militants qui risquaient la prison (et qui auraient été fusillés lors des deux premières guerres !).
L’un de ces 39 raconte le souvenir obsédant « d’un ruisseau devenu rouge (rouge du sang de qui ? de soldats français ? de Harkis ? de civils français ? de terroristes islamistes fellaghas ?). Certains lui ont dit «leur honte», certainement ce fils qui a envoyé une carte à ses parents, leur écrivant : «qu’avec son groupe ils avaient «étrillé» un village arabe et «pris toutes les femmes» mais que «sinon, ça va».
Qui pensez-vous convaincre, Raphaëlle Branche ? Vos amis (es), vos lecteurs habituels le sont depuis longtemps, ils partagent votre idéologie .Contrairement à vous « la société française, dans sa majorité, n’est pas sourde, et si elle est traumatisée, ce n’est certes pas par ce que vous écrivez et ce que vous déclarez, vous et les vôtres, les Stora, Moss-Copeaux, Dosse, et les autres, qui avez pris la suite des Sartre, Franz Fanon, Einaudi, Alleg et compagnie, mais parce qu’elle subit, aujourd’hui, les traumatismes que vous avez défendus.
Manuel Gomez, novembre 2020
Sur ces trois points, je dois reconnaître que j’ai été agréablement surpris. ici l'historien admet un"massacre programmé alors qu'un autre historien Jean-Louis Margolin.analyse que ce documentaire" participe d’une vision culpabilisatrice de notre passé colonial qui nourrit notamment le ressentiment d’immigrants de plus ou moins fraîche date à l’égard de la France",Notre histoire n'est pas plus violente que celle des peuples africains ou arabes. Avant d'être colonisé par la France, le Maghreb le fut par les conquérants arabo-musulmans. COLONISATION REUSSIE, celle-là, puisqu'ils y sont toujours, et que les peuples berbères, autrefois animistes ou chrétiens, sont aujourd'hui musulmans et dominés. L'esclavage en Afrique ne fut pas inventé par les Européens, et il demeure encore dans certains pays africains ou arabes. dont ne parle pas ce documentaire avec les "colonisations réussies"qui n'ont donc pas eu à décoloniser comme aux amèriques nord et sud où on ne parle plus des autochtones sans parler du continent asiatique
La population algérienne est passé de 1,5 à 10 millions sous l’occupation française. Où est le génocide La décolonisation et l'indépendance sont présentés comme la marche vers le progrès ceci est démenti par l'histoire de la plus ancienne colonie "libérée" L'indépendance d'Haïti est proclamée le premier jour de 1804. La fondation d'Haïti est l'aboutissement de l'insurrection qui éclate en 1791, mettant fin à plus d'un siècle de colonisation française dans la partie occidentale de l'île ;.État indépendant gouverné par d'anciens esclaves au cœur des Antilles ce pays sera le plus arriéré ,le plus pauvre, le plus anti démocratique et soumis à la corruption de la région***
TOUT CECI PAS PRESENTE DANS CE DOCUMENTAIRE TRES PARTIAL