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études-coloniales
3 janvier 2013

les victimes oubliées de 1956-1957

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le général Maurice Schmitt

 

terroriste honorés, victimes oubliées

général Maurice SCHMITT

 

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cliquer sur l'image pour l'agrandir et la lire plus aisément

Excellente miise au point du général Schmitt dans le numéro 94 de la revue Floréal (DPLV), Hiver 2012 (signalé par le général Maurice Faivre).

 

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Commentaires
A
Bonjour ! <br /> <br /> <br /> <br /> L'on veut écrire scientifiquement et objectivement l'histoire de la France en Algérie, de l'Algérie contemporaine ou de la guerre d'Algérie, la lutte contre l'oubli ne doit pas se faire uniquement à sens unique en parlant d'hommes, de lieux géographiques et même de victimes en négligeant d'autres, d'un côté comme de l'autre d'ailleurs.<br /> <br /> <br /> <br /> Même les survivants du conflits même en tant que camarades du contingent ou adversaires du F.L.N/A.L.N ne doivent pas être occultés, niés ou omis.<br /> <br /> <br /> <br /> Un acteur en un lieu donné même des plus petits géographiquement ou subordonné relatif de la hiérarchie doit être non seulement cité mais faire des écrits sur son itinéraire illustré de ses photographies comme les capitaines de la S.A.S de Beni-Hafed Louis Audry, Georges Laurent du poste avancé de Béni-Ourtilane muté à El-Maïn le 07 Avril 1957 pour camper là en ce lieu dit assez dangereux après de violents combats en s'accrochant avec les katibas (compagnies) du F.L.N/A.L.N pour qu'ensuite s'en aller et laisser sa place à son successeur Schlag Hoffann en 1959. Le capitaine Veille arrive sur les lieux vers 1960 et l'ancien légionnaire le lieutenant Casnav muté du poste de Tittest pour El-Maïn également à l'automne 1961 voulant rendre ses soldats plus guerriers qu'ils ne l'étaient d'après le témoignage du soldat instituteur du village d'Aourir Ou Eulmi (Guenzet) François Désormonts paru sur le tome trois guerre d'Algérie publiés aux éditions Messidor, série temps actuels à Paris <br /> <br /> <br /> <br /> Que dire des souvenirs des scènes de vies civiles faites tout au long du conflit et ce jusqu'au 12 Mai 1962, comme les photographies des cafés maures, des fontaines, des écoles, des foyers sportifs, des foyers de jeunes, des C.F.J.A, des A.M.G... ? Les censures sabotent les cultures et complètent les monstrueux montages de mensonges carabinés. Ce n'est qu'un humble point de vue de l'une des victimes des souffrances, des indigences, des misères, des ignorances avec toutes leurs références, élève du monde scolaire boutiques commerciales aménagées en salles de classes du temps de la guerre entouré d'un milieu plein de colères sortant en récréation à la place publique Tizi au lieu de notre cour dont l'ancienne école fût occupée par les soldats qui leur sert de caserne de campement.
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