Alors "ésseman essabeq maout" En laissant le débat sur le passé de coté Examinons ce qui se dit "là bas" Par le journaliste Hocine Bellaloufi <br />
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"La politique ultralibérale d’Abdelaziz Bouteflika s’inscrit dans la continuité de la politique d’infitah (libéralisation ou passage à l’économie de marché) entamée depuis 1980. Elle en constitue le prolongement ainsi qu’une accélération. Les conséquences palpables, et non pas simplement les risques, d’une telle politique sont la désindustrialisation et la promotion d’une économie de bazar. La part de l’industrie dans la production intérieure brute est passée de plus de 25% au début des années 1980 à 5% aujourd’hui. L’Algérie importe l’essentiel de ce qu’elle consomme, de l’utile au superflu. Les immenses revenus pétroliers retournent directement dans les caisses des multinationales et des banques étrangères. L’explosion des importations automobiles illustre cette tendance. Des joyaux de l’Algérie indépendante, comme ceux d’El Hadjar et de ses mines, d’Asmidal, de Sidal… ont été bradés à des multinationales qui pillent les richesses du pays et le contraignent à importer ce qu’il produisait autrefois. <br />
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Enfin la société algérienne connait un processus de polarisation de classes sans précédent entre une minorité de nouveaux riches et une majorité qui peine à survivre : chômage massif, en particulier chez les jeunes, précarisation de l’emploi,inflation galopante qui mine le pouvoir d achat des masses <br />
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AUTRE INFO <br />
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L’Algérie sans pétrole et gaz conventionnel à l'Horizon 2030 Par Le Matin DZ | 01/09/2012 <br />
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Après 50 années d’indépendance politique, l’Algérie exporte toujours 98% d’hydrocarbures à l’état brut et semi brut et importe 70-75% des besoins des ménages et des entreprises publiques et privées dont le taux d’intégration ne dépasse pas 15%. <br />
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L'Algérie a-t-elle une stratégie pour endiguer la fin des réserves du pétrole ? <br />
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L’analyse de l’épuisement des réserves de pétrole pour l’Algérie est souvent évoquée dans les rapports internationaux, l’Algérie pouvant se réveiller un jour dans une situation très douloureuse, plus rapidement pour le pétrole, devenant importateurd’hydrocarbures au moment où la population atteindra 50 millions d’habitants. L’Algérie avec l’actuel modèle de consommation énergétique et sans découvertes substantielles -, ce qui a été le cas depuis 2000, puisqu'aucune importante découverte rentable, la hausse des recettes étant due essentiellement à la hausse du prix du pétrole, expliquant les amendements de l’actuelle loi des hydrocarbures - risque l’épuisement de ses ressources en pétrole (2020) et gaz conventionnel horizon 2030.<br />
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Quel est le meilleur régime prospectif dans ce cas pour l'Algérie? Religieux ;Semi Laique,? si 50/50 c'est un conflit civil en géstation!(laique à 100%<br />
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pas encore possible!) Répercutions pour la France et en France vu les relations humaines si non politiques existant? Les autres pays ne voulant plus d'un boulet aprés l'avoir pompé et renvoyé à la situation virtuelle de 1830! <br />
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Vaste chantier vaste débat ;Miséricorde !
NATURE DE L" ISLAM RELIGION D" ETAT<br />
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Il convient avant tout de rappeler que le Coran n’est pas, comme la Bible ou les Evangiles, un récit humain écrit à posteriori; mais serait la parole parfaite d’Allah transmise par l’archange Djibril à Mahomet. Le Coran ne pourrait donc être critiqué ni adapté : il est immuable et intemporel. Bien mieux, en proclamant Mahomet le dernier (ou le « sceau ») des prophètes, l’islam interdit toute évolution ultérieure<br />
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La Charia (loi d’Allah) institue explicitement l’inégalité entre les êtres humains. D’abord, il y a des hommes libres et des esclaves : c’est Allah qui le veut et l’a précisé dans le Coran. «Abolir l’esclavage relevait quasiment de l’inconcevable. Interdire ce que Dieu permet est un crime presque aussi grand que de permettre ce qu’Il interdit». Si l’esclavage n’existe plus du point de vue du droit international, il n’est toujours pas aboli dans les faits : il subsiste encore en Mauritanie et dans d’autres régions musulmanes.<br />
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Une seconde discrimination est instituée entre musulmans et « gens du livre », polythéistes ou athées : ces derniers n’ont même pas LE DROIT DE VIVRE. Un non musulman ne peut par exemple jamais témoigner contre un musulman : en l’absence de témoin musulman, un musulman peut mentir en toute impunité à un non-musulman. En terre musulmane, l’athée n’a aucun droit, sinon celui de se convertir ou d’être exécuté.<br />
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« La discrimination que rejette l'Islam, c'est celle qui se fonde sur la couleur de la peau, sur la nationalité... Quant à la discrimination entre hommes et femmes, c'est une chose normale, naturelle qu'il n' y a pas lieu de rejeter, elle fait partie de l'Islam ». Mais comment peut-il en être autrement dès lors que le Coran, c’est-à-dire Allah lui-même, impose des discriminations sur base du sexe Par exemple, une femme peut être battue ou unilatéralement répudiée par son mari. Une musulmane ne peut en aucun cas épouser un non musulman. Le Coran et la Sunna regorgent de prescriptions défavorables ou méprisantes à l’égard des femmes. Il faut être d’une parfaite mauvaise foi pour oser soutenir le contraire !<br />
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« Dans l’islam, la notion de citoyenneté n’existe pas, mais celle de communauté est très importante » Par delà les frontières, l’islam ne connaît que l’Oumma, la communauté des croyants : l’ensemble de ceux qui sont soumis inconditionnellement à la volonté d’Allah. L’islam ne conçoit pas que des citoyens responsables puissent prendre en main leur destin en agissant sur la politique, sinon pour propager la parole d’Allah et instaurer sur le monde l’ordre islamique. L’Islam n’est qu’abandon à la volonté d’Allah.<br />
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L’appartenance à l’Oumma non seulement prime l’appartenance à toute autre communauté, mais le plus souvent s’y oppose. Il est par ailleurs significatif que pour obtenir la nationalité dans la plupart des pays musulmans, la première condition est d’être musulman !<br />
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L’islam interdit à un musulman de se convertir à une autre religion et tout musulman apostat doit être condamné à mort. Ceci explique notamment que les pays musulmans colonisés n’ont jamais été convertis au christianisme.( Le fait d’empêcher un croyant de quitter une communauté religieuse est le principal argument pour condamner les sectes.) ! Parmi les 17 péchés capitaux de l’islam, le plus grave est l’incroyance, largement avant le meurtre et le vol.<br />
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L’islam est comme les autres grandes religions monothéistes une révélation : le message divin a été révélé aux hommes et il n’est pas question de le modifier par un vote humain ou par la négociation. Mais contrairement au christianisme qui prévoit la séparation de l’Eglise et de l’Etat « rendez à César ce qui est à César et à Dieu ce qui est à Dieu », l’islam interdit toute séparation entre la religion et les autres aspects de la vie sociale. «L’idée qu’il puisse exister des êtres, des activités ou des aspects de l’existence humaine qui échappent à l’emprise de la religion et de la loi divine est étrangère à la pensée musulmane.» L’islam est donc une doctrine totalitaire qui englobe tous les aspects de la vie sociale et de la sphère privée. Bien plus, le Coran fixe de manière précise nombre de règles de droit. Celles-ci sont complétées par des Hadiths (paroles du prophète Mahomet PSL) et constituent la Charia, la loi divine. La Charia veut « contrôler dans leurs moindres détails les activités politiques et sociales des individus, sans aucune restriction la vie des fidèles, et s’assurer que les autres religions ne puissent pas gêner l’islam ». La Charia prime le droit des hommes et ne peut être adaptée par un quelconque parlement ou par la volonté du peuple. «Selon la doctrine musulmane, l’homme n’a pas le pouvoir de légiférer; pour les croyants, il n’existe qu’une seule loi: la sainte loi révélée par Dieu.». La loi des hommes ne peut aller à l’encontre de la loi d’Allah, qui est infaillible. L’islam impose donc un régime théocratique, totalitaire et donc incompatible avec toute démocratie type occidentale<br />
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« Les relations entre l'Islam et le monde non musulman sont, par définition, conçues sous un angle fondamentalement conflictuel dans la doctrine islamique classique. […] L'obligation de soumettre les populations qui refusent l'Islam se trouve encore affirmée sans ambiguïté dans le hadith (récit de la vie du Prophète, consigné dans la Sunna) suivant: "J'ai reçu l'ordre de combattre les gens jusqu’à ce qu'ils disent: "Il n'y a d'autre divinité que Dieu" […] Le devoir assigné à la communauté musulmane par la révélation et les paroles du Prophète est clairement énoncé: elle a pour mission de propager la parole de Dieu afin d'établir sur le monde l'ordre voulu par Lui. Et l'instrument par excellence de cette propagation sera le djihâd »<br />
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Les quelques éléments ci-dessus devraient suffire pour nous convaincre de l’incompatibilité de l’islam avec les droits de l’homme. Mais le sujet mériterait un livre à lui seul.Mais il suffit pour s’en convaincre de savoir que les musulmans ne peuvent accepter la déclaration universelle des droits de l’homme. Une déclaration islamique universelle des droits de l’homme, conforme aux prescrits du Coran et de la Sunna a été élaborée à Londres par le Conseil musulman, et proclamée à Paris en 1981.<br />
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Pour un Occidental, reconnaître la véritable nature de l’islam imposerait une série de conclusions et de conséquences impossibles à admettre. La logique qui en découlerait sort tellement des limites acceptables du champ culturel et idéologique politiquement correct, que nos intellectuels conformistes préfèrent ne pas savoir. et ils préférent avaler les prestations islamiques "modérées"comme du bon pain<br />
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CE LA NE VEUT PAS DIRE QUE LES ELECTIONS SONT INTERDITES A L INTERIEUR DE L OUMA QUI DOIT S ADAPTER LORSQU ELLE N EST PAS EN TERRE D 'ISLAM<br />
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OU FORTEMENT CONTAMINEE PAR LA LAICITE COMME L" ALGERIE MAIS SOURCE DE CONFLITS (A SUIVRE )!
l'Algérie après 50 ans de l'indépendance oui <br />
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c'est bien Miloud en marge de tous les Blablas <br />
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ce qui compte c'est la réalité des faits et la pratique sociale pierre de touche de la théorie comme disait un certain Mao!<br />
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Apres/débat difficile sur le passé ,dialogue de sourds;comme dit notre ami Areski très ironique <br />
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Parfois entre Historiens Français avec des intervenants plus "anticolonialistes" que les ex colonisés mais issus d'idéologies qui avaient soutenues PolPot et certains goulags tropicaux ;débat difficile aussi avec certains Algériens surtout en Algérie! a intéret limité Qui à commencé? on risque de remonter aux croisades et à la prise de Jérusalem par les uns et par les autres!....... <br />
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le débat sur le présent et l'avenir prospectif <br />
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peut se poursuivre comme nous l'avons dit en laissant le passé "historique" de coté sans rien renier de ses propres mythes,convictions où croyances dont personne ne pourra convaincre personne Alors "ésseman essabeq maout" <br />
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Alors qui voudra nous démontrer que l'Islam tant qu'il reste religion d'Etat(et est ce intangible?)<br />
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peut s'accomoder de ce que dit Miloud en préambule<br />
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où NON pourquoi pas ?,aprés tout d'autres formes de gouvernances non "occidentales" peuvent etre aussi honorables et méme plus efficaces que l'héritage ;<br />
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Maçonnique ;laique ; agnostique voir: athée !
Source Le Matin DZ Extraits 22/8<br />
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À ma connaissance, aucun pays musulman n’a encore accédé à la démocratie et à la modernité (séparation du religieux et du politique, mode de vie industriel ultra-rationalisé, pluripartisme, alternance du pouvoir, liberté de conscience, d'expression, contrôle des richesses publiques) par des moyens révolutionnaires ou électoraux. Tous ceux qui ont essayé n’ont finalement échangé qu’une dictature militaire contre une dictature religieuse : Iran en 79, Algérie en 91-92 (là, la partie n’est pas encore jouée), Tunisie, Egypte, Lybie, Maroc en 2012, Syrie... Les sociologues et les historiens ont sûrement leurs explications sur ce phénomène........ Mais si les jeunes, la catégorie instruite, commencent le travail de sape, déclenchent la révolution (avec la bénédiction des Occidentaux), puis finissent par se faire déborder par les islamistes, ils ne doivent s’en prendre qu’à leur courte vue. <br />
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Les Occidentaux, qui prétendaient œuvrer pour les droits de l’homme et la démocratie, en fait offraient un escabeau aux religieux, pendant que les intellectuels écoutaient les sornettes de BHL…<br />
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Je crois que beaucoup réalisent qu’ils n’ont rien gagné, mais pire, ont perdu au change : récession due à la baisse du tourisme, augmentation de la violence, atteinte aux libertés individuelles. C’en est assez pour expliquer leur silence. On dit qu’un changement politique radical présage une durée d’un demi-siècle pour le nouveau régime, si ce n’est davantage ; beaucoup, beaucoup de temps pour le silence et le regret du bon vieux temps, celui d’avant le jasmin et d’avant le printemps. Mais c’est le propre de toutes les révolutions d’engendrer la nostalgie.
Pour ceux qui s'intéressent toujours à ce qui se passe dans leur Pays natal et qu'on le veuille <br />
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où non aura des impacts sur la France <br />
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le débat sur le présent et l'avenir prospectif <br />
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peut se poursuivre en laissant le passé historique de coté sans rien renier de ses propres mythes où de ses croyances et de ses convictions dont personne ne pourra convaincre personne du moins publiquement!(on sait pourquoi!)<br />
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Alors "ésseman essabeq maout" Examinons ce qui se dit "là bas" <br />
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Par Mohamed Sadeg. Professeur à l’Ecole supérieure de commerce Source "El Watan" 29 Aout 2012<br />
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«Il faut faire un bilan sérieux des 50 années d’indépendance» <br />
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L’Algérie possède des atouts que d’autres pays lui envient. Pourquoi ne figure-t-elle pas parmi le peloton des pays émergents ?<br />
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L’Algérie doit avoir un gouvernement dont la mission principale sera de relancer le pays. Ce gouvernement doit regrouper les meilleurs éléments de tous les horizons et de toutes les régions. Il fera passer le bien des Algériens et leurs intérêts avant celui des groupes de pression. Les gens veulent du nouveau, du changement. Le gouvernement doit rassembler des gens d’expérience, qui mettent leurs connaissances et leur expertise au service des Algériens. La mission de cette équipe sera de réaliser un programme inspiré d’une bonne stratégie de développement. Les Algériens sont clairs, ils veulent qu’une équipe nouvelle fasse preuve de leadership et de compétence pour remettre en marche l’Algérie. Les attentes des Algériens sont immenses : réparer notre système d’éducation ; ramener notre système de santé parmi les meilleurs de la région ; prendre en main notre économie ; protéger et affirmer haut et fort nos cultures et nos langues nationales ; rétablir le lien de confiance entre la population et ses élus puis ramener la dignité, l’intégrité, l’authenticité et la transparence en politique. La lutte contre la corruption doit aussi être une priorité. Afin de sortir de la morosité, il nous faut agir dans le but de redonner confiance aux Algériens. Pour y parvenir, nous devons faire le ménage là où cela s’impose. La situation de l’Algérie est sérieuse et il faut passer rapidement à l’action. Les événements des derniers mois démontrent qu’il faut être vigilant, qu’il ne suffit plus d’espérer du changement. Nous savons tous qu’avec nos ressources naturelles exceptionnelles, notre population scolarisée et notre créativité, toute l’Algérie devrait être bien riche. L’Algérie peut et doit faire mieux pour se faire une bonne place parmi les pays émergents.<br />
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- Avec son arrivée au pouvoir en 1999, le président Abdelaziz Bouteflika promettait monts et merveilles. Au final, son bilan est peu glorieux : institutions sans crédibilité, corruption à grande échelle et une économie toujours en panne. Peut-on dire que l’Algérie a raté une belle occasion de sortir de l’ornière ?<br />
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http://www.elwatan.com/economie/il-faut-faire-un-bilan-serieux-des-50-annees-d-independance-28-08-2012-183382_111.php<br />
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Quitte à me faire critiquer je fais la pub pour une certaine présse Algérienne en espérant la réciprocité pour la prèsse Pieds Noirs!
Ce site édite une revue en ligne qui encourage les savoirs et les recherches consacrées à l’histoire coloniale et post-coloniale, à l'histoire des constructions mémorielles et des immigrations d’origines coloniales