boulanger éventré pa le FLN à Oran, le 5 juillet 1962 à Oran
informations pour contrer le débat idéoogique
Jean-François PAYA
Chers amis Algérianistes,
Devant nos efforts pour faire connaître les drames issus de "La guerre d'Algérie" surtout, depuis qu'elle était virtuellement terminée (officiellement le 2 Juillet 1962) et depuis l'Indépendance (massacre des Harkis ; 5 Juillet à Oran et autres) nos détracteurs gênés se rabattent sur des évènements antérieurs.
Ceux-ci sont à discuter mais ils oublient ces précisions fondamentales alors que le FLN vient de faire adopter massivement "les accords d'Évian" et que toutes ses exactions antérieures, "terroristes ou pas" (actions de guerre pour lui!) sont amnistiées et les protagonistes condamnés libérés !
La LDH de Toulon qui a passé plus de 12 articles, contre un des miens (avec une observation de partialité!) sur le 5 Juillet 62, vient de poursuivre son combat idéologique sur ce terrain en ayant "oublié" aussi de rendre compte des travaux de Jean-Jacques Jordi et de son dernier ouvrage Un Silence d'État sur les disparus civils européens et du
récent livre de Guillaume Zeller sur les massacres d'Oran, ainsi que nos interventions dans l'excellent Blog de la revue Etudes Coloniales où contrairement à celui de la LDH chacun peut exprimer son point de vue librement,
http://etudescoloniales.canalblog.com/archives/2012/02/16/23538008.html
Estimant qu'il faut connaître ce "qu'ils disent" avec lucidité, quitte à être critiqué. Je porte à votre connaissance ces informations, pour ceux qui veulent savoir et contrer ce combat idéologique.
J.-F. Paya
EXTRAIT texte de la LDH
Le massacre des Européens d’Oran au moment de l’indépendance algérienne commence à être connu en France, et reconnu par les pouvoirs publics. Certains rapatriés d’Algérie en avaient fait une de leurs revendications mémorielles fondamentales.
L’historien algérien Fouad Soufi écrivait en novembre 2000 : «Le 5 juillet 1962, alors que partout la population algérienne célèbre la fête de l’indépendance, dans le centre de la ville d’Oran, des hommes, des femmes et des enfants algériens et européens trouvent la mort dans des conditions atroces, non encore élucidées» .
D’autres attentats meurtriers intervenus auparavant sont, en revanche, à peu près complètement ignorés en France : ceux visant des civils algériens que l’OAS a multipliés à Alger et à Oran au cours de la période allant de début janvier à début juillet 1962… Ci-dessous, un petit dossier sur cet aspect mal connu de la fin de la guerre d’Algérie.
[Mis en ligne le 26 février 2012, mis à jour le 27]
http://www.ldh-toulon.net/spip.php?article4880
pour la minorité des Français d'Algérie !Donc
avant de commencer une étude autant que possible sereine et objective sur un aspect de la guerre d’Algérie,il conviendrait avant d’employer des qualificatifs à base idéologique de replacer toute les diverses composantesde ce conflit dans leur contexte l’OAS fut un des éléments inéluctable dirons certains de ce conflit vu les atermoiements et les roueries du pouvoir gaulliste Français mais aussi la crainte qui se révélera justifiée de se voir chassée de chez elle de la part de la minorité Européenne .Ici les sentiments rationnels n’ont plus de prises et l’action de l’OAS devient partie du contexte historique mais,pas plus que celle du FLN et de ses diverses composantes et oppositions musulmanes ,pas plus aussi que celledes forces armées Françaises ;Car la guerre d’Algérie comme l’a démontré le professeur Pervillé fut une tripleguerre civile : Franco-Algérienne:/ Algéro-Algérienne/ Franco-Française en une sorte de guerre de sécession àl’envers . On estime le nombre global des victimes entre 350000 et 400000 dont 105000 après le ” cessez le feu ” du 19 Mars et l’indépendance (harkis et familles inclus) du fait du FLN et 2700du fait de l’OAS soit entre 0;77% et 0 ;66% du nombre total des victimes . Certes toute victime est une victime de trop surtout lorsqu’elle survient après la fin du conflit (comme dans le cas d'Oran et des Harkis) rappelons que ce dernier pris fin officiellement :le 2 Juillet 1962à la suite d’un vote unanime du parlement de la loi du 10 Juin 99 qui reconnu l’état de ” guerre ” en Algérie ..
L’OAS dernière venue dans le triptyque pour une analyse objective fut la résultante difficilement évitable du Sentiment de trahison ressenti par les partisans de l’Algérie Française et d’abandon par la majorité des FrançaisD’Algérie qui n’avaient aucune confiance quant aux ” garanties ” proposées par le pouvoir Gaulliste et le FLN.(la suite leur à donné tragiquement raison).
Sur le plan concret de la. légalité toutes les exactions de part et d’autre furent l’objet d’une amnistie réciproque incluse dans les ” accords d’Evian ” . .Depuis les” Ex Térroristes “et “Ex combattants “des deux camps peuvent circuler librement en France mais peut etre pas en Algérie qui comme pour “la double nationalité” et autres démarches n’accorde pas la “réciprocité de traitement “aux nationaux Français de toutes origines anciens combattants où pas alors que les siens se proménent librement et participent à “des colloques “à Marseille et à Paris *et ici le silence de la LDH est assourdissant