"commémorations" du 17 octobre 1961
manifestation parisienne du 17 octobre 1961
général Maurcice FAIVRE
Les anticolonialistes et les municipalités qui les soutiennent ont ouvert les hostilités du 50e anniversaire. La première bataille concerne la répression de la manifestation parisienne du 17 octobre 1961.
Des historiens engagés soutiennent la légende des 200 noyés dans la Seine. Les travaux de Jean-Paul Brunet, ex-professeur à Normale Sup, sont ignorés.
Une bande dessinée de Didier Deaminck, préfacée par Benjamin Stora, rend hommage à Fatima Bedar, dont il est prouvé qu'elle s'est suicidée.
Voici quelques-unes des manifestations prévues :
- le 7 octobre à Nanterre, conférence-débat de Med Barkat et Manceron, inauguration du boulevard du 17 octobre
- le 10 octobre au Cabaret sauvage, rencontre des indignés : Stora, Plenel, Lalaoui, Assouline, D.Mermet, St. Hessel,
- le 13 octobre à Aubervilliers, inauguration de la place du 17 octobre, avec Manceron, Remaoun, Aounit
- le 14 octobre à Nanterre, projection du film de Yasmina Adi : Ici on noie des Algériens,
- le 14 octobre au Centre culturel algérien, pièce de théâtre engagée,
- le 15 octobre à Nanterre, colloque avec S.Thénault, Em.Blanchard, Macmaster, Djerbal, Mhamed Kaki, Lalaoui,
Med harbi V.Collet et J.Luc Einaudi. Témoignages de M.Hervo, N.Rein, MC Blanc-Chaleard.
Projection du film autrefois interdit de Panijel : Octobre à Paris;
- le 15 octobre à l'Assemblée nationale, colloque autour des films de Panijel, Yasmina et Daniel Kupferstein.
Table ronde avec E.Blanchard, Manceron, Einaudi, Harbi, House, Macmaster, Remanoun et Ruscio.
- le 16 octobre à Colombe, projection du film de Yasmina Adi
- le 17 octobre à Nice, conférence du Consul d'Algérie !
Défilé à Paris jusqu'au pont St Michel
- le 20 octobre à l'Agora de Nanterre, conférence-débat de JJL Einaudi,
- le 22 octobre à la Mairie de Paris, Festival de Maghreb du film, par l'Espace parisien Histoire-mémoire de la guerre d'Algérie
Projection des films de Panijel et Yasmina Adi, avec Manceron , le MRAP, et la LDH.
Je diffuserai ultérieurement le point de vue des historiens sérieux.
Maurice Faivre